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Interview d’un utilisateur de tracker d’activité

L’œil de l’expert
Mercredi 07 novembre 2018

Interview d’un utilisateur de tracker d’activité

Racontez-nous les premiers pas avec votre montre connectée

J’ai reçu ma première montre connectée en décembre 2016. Au début, je regardais beaucoup le nombre de pas sur la montre pour voir si j’atteignais ou pas mes objectifs et cela me motivait à en faire davantage. Je m’y suis rapidement habitué et me rendais compte de mes déplacements et de mon activité. Au fil du temps, je me suis aperçu que le tracker me permettait de changer mes habitudes, notamment le fait de monter plus souvent les escaliers.

J'avais un objectif de 6 000 pas par jour qui n'était pas évident à remplir au début. C'est ainsi que j'ai remarqué que ma vie était sédentaire malgré mes efforts quotidiens.

Je ne la portais pas la nuit, je n’ai donc pas utilisé le suivi de mon sommeil. La fonction sommeil n’était pas ma priorité et surtout, je n'avais pas envie de porter ma montre 24h/24.  

Je ne m’en suis pas lassé, bien au contraire car elle remplace une montre et en fait même plus !

Les objets connectés sont de bons moyens de se rendre compte de ce que l’on fait ou pas.

Après plusieurs mois d’utilisation intensive, le bracelet de ma montre connectée s’est malheureusement cassé et n’était pas remplaçable.

 

Que ressentez-vous maintenant que vous devez vous en passer ?

Ça fait 3 mois que je n’ai plus de montre, c’est un manque. J'aime savoir ce que je fais et suivre mon évolution. J’ai conservé mes habitudes, même si je sens que je monte moins d’escalier depuis que je ne l’ai plus. Je ne me rends plus compte de ce que je fais, c’est assez frustrant.

 

Selon vous, quelles sont les limites des trackers d’activité ?

Je fais de la voile et de la pêche pendant mon temps libre. Lorsque j’étais en bateau, les vagues me comptaient des pas. A la pêche, le fait de réaliser un mouvement de moulinet comptait également des pas. Mis à part ces détails, je n’ai pas vu de réelles limites dans mon utilisation en tout cas.

 

Que pensez-vous de l’esthétisme de votre objet connecté ?

Les premiers trackers d’activité n’étaient pas très « sexy », plutôt épais et imposants pour un poignet. Aujourd’hui, les fabricants ont fait beaucoup d’efforts côté design, certaines marques ont même ajouté des fonctions GPS, et l’heure par exemple.

 

Quels conseils donneriez-vous ?

Je dirais que c’est un choix personnel d’être connecté ou non. D’après mon expérience, j’en suis très satisfait. Certains jours, il m’arrivait même de partager mes résultats avec ma famille lorsque j’avais atteint mes objectifs. Autrement, il me semble que ces dispositifs sont plutôt personnels et je préfère garder mes résultats pour moi. Mais si j’avais des problématiques de santé, il serait intéressant de pouvoir communiquer avec mon médecin sur les évolutions de mes résultats.

 

François B. utilisateur d'un tracker d'activité interviewé par l'équipe du Guide.

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